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Aveyron-Espalion-Le Pont Vieux-Les tanneries

Espalion en Aveyron

Au pied des contreforts de l’Aubrac, en bordure du Lot, la petite ville d’Espalion est située à 24 km à l’est de Rodez. Elle offre au visiteur un patrimoine bâti d’une grande variété.

  1. Commençons la visite par le Vieux-Palais Renaissance (édifié en 1572). Cet élégant château qui se reflète dans les eaux du Lot a été construit vers les années 1570 par Bernardin de la Valette alors consul de la ville. On peut apprécier ses fenêtres à meneaux, sa tour en poivrière et sa loggia dominant le Lot. Mis à la disposition de l’Association Renaissance du Vieux-Palais, présidée par le chroniqueur Philippe MEYER, il est devenu un lieu d’accueil des artistes.
  2. Franchissant le Lot, le célèbre Pont-Vieux, piétonnier, est construit tout en grès rose. L’édifice date, probablement, de la fin du XIII ème siècle. Il comporte quatre arches à trois arcades superposées et un profil en dos d’âne. Il fut plusieurs fois remanié. Il est classé au titre des monuments historiques depuis le 9 mars 1888, et au Patrimoine mondial de l’UNESCO en 1998, au titre des chemins de Saint-Jacques-de-Compostelle en France. Avec un peu de chance, à la fin mai on peut y voir passer les troupeaux en transhumance vers les pâturages de l’Aubrac.
  3. Sur la rive droite du Lot, entre les deux ponts se dressent les anciennes tanneries ou « calquières » : pittoresques maisons aux balcons de bois ou encorbellements. Les pierres plates, en saillie, dites « gandouliers » servaient à laver les peaux. Leur disposition en escalier permettait l’immersion des peaux quel que soit le niveau de l’eau.
  4. A voir : L’ église paroissiale Saint-Jean-Baptiste. À la fin du XIXe siècle, l’église étant devenue trop petite, un nouvel édifice est mis en chantier. Commencée en 1879, la nouvelle église est consacrée le 3 octobre 1883 et reste sous le vocable de saint Jean-Baptiste. Située sur le boulevard Joseph-Poulenc, cette église néo-gothique construite en grès rouge, est dotée de deux tours hautes de 45 m surmontées des statues en bronze de la Vierge et de saint Joseph, significatives de la piété mariale du Rouergueau XIXe siècle. Elle est précédée d’une cour fermée par une clôture de grès. Le portail central s’orne dans son tympan des statues du Bon Pasteur, de saint Jean-Baptiste et du patron de la cité, saint Hilarian.
    À l’intérieur, le chœur contient un maître-autel et un retable monumental en marbre du Poitou, matériau également utilisée pour la chaire. Dans une des chapelles, un haut-relief en bronze de l’artiste aveyronnais Denys Puech (1854-1942) représente le martyre par décapitation de saint Hilarian.
  5. Très particulière avec son pignon d’entrée orné d’un escalier et de deux tourelles, l’ancienne Eglise Saint-Jean (fin du 15e siècle) servit d’Hôtel de Ville jusqu’en 1948 avant que, de nos jours, deux musées y soient abrités ; l’un nommé « Joseph Vaylet » avec ses collections d’art et traditions populaires, et l’autre « du Scaphandre », de notoriété internationale, doté de pièces exceptionnelles (scaphandres, petits sous-marins, équipements de plongée…), de maquettes et de documents d’archives…

 

Le Vieux-Palais

Cet élégant château, de style Renaissance, qui se reflète dans les eaux du Lot a été construit vers les années 1570 par Bernardin de la Valette alors consul de la ville. On peut apprécier ses fenêtres à meneaux, sa tour en poivrière et sa loggia dominant le Lot. Mis à la disposition de l’Association Renaissance du Vieux-Palais, présidée par le chroniqueur Philippe MEYER, il est devenu un lieu d’accueil des artistes.

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Le célèbre Pont-Vieux et les Calquières

Franchissant le Lot, il est construit tout en grès rose.

Cet édifice date, probablement, de la fin du XIIIème siècle. Il servait à prélever les droits de péages. Il comporte quatre arches à trois arcades superposées et un profil en dos d’âne. Il fut plusieurs fois remanié. Il est classé au titre des monuments historiques depuis le 9 mars 1888, et au Patrimoine mondial de l’UNESCO en 1998, au titre des chemins de Saint-Jacques-de-Compostelle en France. Avec un peu de chance, à la fin Mai on peut y voir passer les troupeaux en transhumance vers les pâturages de l’Aubrac.

Sur la rive droite du Lot, entre les deux ponts se dressent les anciennes tanneries ou « calquières » : pittoresques maisons aux balcons de bois ou encorbellements. Les pierres plates, en saillie, dites « gandouliers » servaient à laver les peaux. Leur disposition en escalier permettait l’immersion des peaux quel que soit le niveau de l’eau.

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L’ église paroissiale Saint-Jean-Baptiste.

 À la fin du  XIX siècle, l’église  étant devenue trop petite, un nouvel édifice est mis en chantier. Commencée en 1879, la nouvelle église est consacrée le 3 octobre 1883  et reste sous le vocable de saint Jean-Baptiste.  Située sur le boulevard Joseph Poulenc, cette église  néo-gothique  construite en grès  rouge, est dotée de deux tours hautes de  45  m  surmontées des statues en  bronze  de la Vierge et de saint Joseph, significatives de la piété mariale du  Rouergue au  XIX siècle. Elle est précédée d’une cour fermée par une clôture de grès. Le portail central s’orne dans son  tympan  des statues du  Bon Pasteur, de saint Jean-Baptiste et du patron de la cité,  saint Hilarian.

À l’intérieur, le chœur contient un maître-autel et un  retable  monumental en marbre du Poitou, matériau également utilisée pour la  chaire. Dans une des chapelles, un  haut-relief  en bronze de l’artiste aveyronnais  Denys     Puech  (1854-1942) représente le martyre par décapitation de saint Hilarian.

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L’ancienne Eglise Saint-Jean

Elle date de la fin du XVe siècle. Elle est très particulière avec son pignon d’entrée orné d’un escalier et de deux tourelles, elle servit d’Hôtel de Ville jusqu’en 1948 avant que, de nos jours, deux musées y soient abrités ; l’un nommé « Joseph Vaylet » avec ses collections d’art et traditions populaires, et l’autre « du Scaphandre », de notoriété internationale, doté de pièces exceptionnelles (scaphandres, petits sous-marins, équipements de plongée…), de maquettes et de documents d’archives…

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Chapelle des Pénitents Blancs

Sur la route de St Jacques de Compostelle, bâtie en 1700, désaffectée, puis remise en état à partir de 2001, la Chapelle des Pénitents blancs, dont la confrérie a vu le jour en 1668, se distingue en façade par une porte encadrée d’un parement à « refends » et couronnée d’une fronton cintré. Un oculus et deux fenêtres en plein cintre entourent une niche abritant une vierge.

A l’intérieur, un retable du XVIIe siècle, en bois peint et doré présente la Circoncision de Jésus au centre, la Nativité à droite, et l’Adoration des Mages à gauche.

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Maison natale de Pierre Assézat

Sur la Place du Puits, un élégant bâtiment d’époque Renaissance a été la maison natale de Pierre Assézat, marchand enrichi par le commerce du pastel, qui fit construire à Toulouse le somptueux hôtel Renaissance Assézat, siège de l’académie des Sciences, Inscriptions et belles lettres.

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Le Foirail 

Le foirail, ancien champ de foires aux bestiaux, est l’endroit idéal pour avoir une vue d’ensemble exceptionnelle sur le Pont-Vieux et le Vieux-Palais se reflétant dans les eaux du Lot.

On y trouve l’originale statue du joueur de quilles, érigée en 1992 pour les 80 ans de la codification du jeu de Quilles de huit.

Le jeu de quilles de 8 est surtout pratiqué en Aveyron (12), cette discipline étant aujourd’hui la troisième discipline sportive dans ce département après le football et la pétanque. Il serait une variante du jeu de quilles à 9 et découlerait d’une habitude, celle de « prendre la quille », c’est-à-dire utiliser une des 9 quilles du jeu (dites quilles « debout ») pour la frapper avec une boule.

Le jeu consiste en effet à faire tomber les 8 quilles « debout » positionnées sur le terrain de jeu, à l’aide d’une neuvième quille, le « quillou » frappée par une boule. Une partie se joue en 9 coups, à des distances de lancer différentes, de 1 à 20 mètres (1, 5, 10, 15 et 20 mètres). A chaque coup, sauf celui à 1 mètre, le joueur a droit à deux lancers : un premier avec le quillou, un second avec la boule. A chaque distance, des règles précises sont appliquées.

On y trouve une statue en hommage aux bâtisseurs :

Ce monument en pierre réalisé par Nicolas Clerget représente un tailleur de pierre de taille humaine, un burin dans la main gauche et un maillet dans la main droite.