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Voyage à Lyon

Voyage à Lyon avec le Club de Marche de Lacave 46200 du 16 au 19/09/2019
Nous avons visité :
L’Arbresle, et ses carrières,
Lyon : Fourvière, Quartiers St Jean et St Paul, Quartier Croix Rousse, Quartier de la Presqu’île, Place des Terreaux, Place Bellecourt, Musée des Confluences.
Oingt village des Pierres dorées.
Un domaine viticole du beaujolais.

Jour 1

L’Arbresle

L’Arbresle se trouve dans le département du Rhône, à une vingtaine de kilomètres  au nord-ouest de  Lyon, au confluent de la Brévenne et de la Turdine, à la jonction des monts du Lyonnais et du Beaujolais.

Cette commune compte plus de 6 300 habitants.

La ville de L’Arbresle fait partie du vignoble du Beaujolais. Sur son territoire, sont présentes deux appellations viticoles : le Beaujolais et les Coteaux du Lyonnais.

Ancienne place forte de l’abbaye médiévale de Savigny, et ville étape sur un antique itinéraire reliant Lyon à Paris : maisons Renaissance, église 15ème et 19ème siècles et ses vitraux classés, vestiges de l’enceinte et donjon du XIe siècle.

Territoire tout autant agricole qu’industriel, le Pays de l’Arbresle a longtemps été un haut-lieu de production textile avant de se diversifier.

Dès le XVIe siècle, cette région accueille la culture et le travail du chanvre.

Au début du XIXe siècle, une partie du tissage de la soie lyonnaise est transférée à la campagne, car la main d’œuvre paysanne est moins exigeante financièrement. Elle trouve ainsi un revenu complémentaire au travail des champs. Ce territoire en profite et se spécialise dans le voile et le velours.

En 1833, on compte 1022 métiers à tisser répartis dans de petits ateliers à domicile.

Et c’est un enfant du pays, Barthélemy Thimonnier, tailleur de son état, qui inventa entre 1830 et 1845 la première machine à coudre, ouvrant ainsi la voie à l’industrie moderne de la confection.

L’arrivée du chemin de fer et le mécanisation des machines entraînent une concentration des métiers en usine. Jusqu’au XXe siècle, l’industrie de la soie prospère et fournit la moitié des emplois.

A  partir des années 1960, l’activité décline et la reconversion est amorcée.

Nous avons profité de la visite de « l’Espace Découverte et du musée des Canuts. »

De pièce en pièce, à travers les trois étages de cette maison caractéristique du Vieux L’Arbresle, un parcours scénographique nous invite à explorer les paysages, les produits et savoir-faire du Pays.  Scènes de vie quotidienne, photographies de l’instant, histoires du patrimoine.

Le musée-atelier des canuts, situé au 3ème étage nous propose une immersion dans l’univers du tissage, son histoire et ses techniques.

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Espace découverte

Dans « l’Espace Découverte » on y découvre le musée des Canuts.

L’Espace Découverte propose un parcours scénographique permanent sur le patrimoine du Pays de L’Arbresle ainsi que des expositions temporaires. Il abrite aussi un Atelier-musée du tissage présentant des matériels accompagnés de témoignages et de films.

Nous avons particulièrement observé un métier à tisser mécanique de 1925 ainsi qu’une démonstration de tissage.

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Visite de la ville

Au fil d’un circuit historique piétonnier qui démarre devant l’Office de tourisme, nous découvrons les vieux quartiers avec entre autres les vestiges de l’enceinte construite par les abbés de Savigny au XIème siècle, la porte de Savigny (seule porte restante de l’ancien mur d’enceinte), l’ancien hôtel des Trois Maures et la borne du Grand chemin de Lyon à Paris (souvenirs du rôle de ville-étape sur la route de Paris), une maison à colombages, la maison dite de Jacques Cœur (1518), la maison de style Renaissance dite des Valous (maison de campagne de nobles lyonnais), l’église et ses fameux vitraux de la fin du XVème siècle.

A remarquer plus particulièrement :

  • Maison renaissance de Valous

Cette maison des champs (avec sa partie habitation noble et sa partie agricole)  a été construite à l’époque de François 1er dans le faubourg du Bizer et se trouvait ainsi hors des murs médiévaux entourée de champs. Elle est presque intégralement conservée. Le style gothique civil se marie avec le style de la renaissance italienne. Elle a vu naitre un président du Sénat et a hébergé un peintre lyonnais et un général du second empire.

Elle est inscrite avec son puits à l’inventaire des monuments historiques.

  • Eglise Saint Jean-Baptiste

Construction : première moitié du XVème siècle et

Agrandissement 1875-1879 (BOIRON architecte).

Restaurations récentes : 1982-83 (intérieur), 2010 (clocher).

Inscription à l’inventaire supplémentaire des Monuments Historiques en 1926

Éléments remarquables : vitraux de l’abside (XVème), voûte sur croisée d’ogives, vitraux XIXème de LOBIN DE TOURS, statues de Saint-Pierre et Vierge de Pitié.

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Les Carrières de Glay (commune de Saint-Germain-Nuelles)

A partir d’une esplanade d’accueil en herbe, nous avons découvert la plaine avoisinante depuis des promontoires équipés de tables d’orientation, avec une superbe vue sur le Beaujolais.

Un parcours très court permet d’aller voir les anciennes carrières.

Ce sont d’anciennes carrières d’où l’on extrayait les « pierres dorées »

On apprend que la pierre dorée est vieille de plusieurs millions d’années. A cette époque, il y avait là une mer immense dans laquelle des sédiments se sont déposés au fil du temps. L’homme a découvert au Moyen-Age cette roche assez dure et s’en est servi pour la construction de maisons, églises, château et cela jusqu’en 1947.

Les carrières sont facilement accessibles et sur place, devant de petits ateliers, des particuliers, passionnés de sculptures sur pierre, animent les lieux. On peut discuter avec ces derniers, ils nous expliquent  la sculpture et la richesse de la pierre dorée. On les voit au travail. On peut admirer ensuite le travail des mineurs qui années après années ont creusé la roche pour atteindre la  » couche royale », celle qui est la plus dure et donc la plus profonde.

Il y a eu jusqu’à 80 à 100 mineurs, sculpteurs sur ces carrières et dans des conditions de travail très difficiles.

Ce magnifique site vaut la visite.

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Jour 2

Lyon

L’agglomération lyonnaise est la deuxième agglomération de France.

Constituée de 59 communes, elle compte 1,3 million d’habitants sur 55 000 hectares. Chaque année, elle attire un nombre important de visiteurs pour un tourisme de loisirs ou d’affaires.

En terme de territoire, elle est bordée au Nord par le Pays Beaujolais, à l’Ouest par les Monts du Lyonnais, à l’Est et au Nord par la plaine de la Dombes et de l’Isère.

La ville peut se targuer de plusieurs spécificités géographiques : située à mi-chemin entre mer et montagne, elle est surplombée de deux collines (Fourvière et la Croix-Rousse) et traversée par deux cours d’eau (le Rhône et son affluent la Saône), qui confluent à Lyon.

Cette situation exceptionnelle au confluent des deux cours d’eau, confère à la ville sa particularité physique : sa presqu’île.

Fourvière et son sublime point de Vue sur Lyon

Montée en car en haut de la colline de Fourvière (dite colline qui prie), l’un des lieux les plus touristiques de Lyon. Sur l’esplanade, nous bénéficions d’un panorama sur toute la ville avec en arrière plan, la chaîne des Alpes.

Surplombant la colline, nous découvrons la Basilique de Fourvière. C’est l’emblème de l’histoire religieuse de Lyon. D’apparence assez austère à l’extérieur, son intérieur est richement décoré.

La basilique Notre-Dame de Fourvière mesure 86 mètres de long et 35 mètres de large. Elle offre une architecture singulière aux inspirations byzantine, gothique et romane. Elle est dotée de quatre tours, hautes de quarante-huit mètres, qui représentent les vertus cardinales :

    la Prudence (tour Nord-Est) et la Tempérance (tour Sud-Est) font face à la ville de Lyon,

    la Force (tour Nord-Ouest) et la Justice (tour Sud-Ouest) dominent le parvis.

L’intérieur de la basilique de Notre-Dame de Fourvière se compose de deux églises superposées, aux volumes extraordinaires, accessibles par le parvis. L’église haute est dominée par trois coupoles et éclairée par six vitraux qui offrent une lumière mettant en avant un décor riche. Les matériaux utilisés pour la construction et la décoration rivalisent de qualité et de beauté, marbre blanc de Carrare, granit rose du Nord de l’Italie, marbre bleu de Savoie, onyx vert, éclats de l’argent et de l’or, mariage de l’ébène et de l’ivoire.

Formé de trois grandes nefs et de trois travées voûtées en arc brisé, l’ensemble de l’église haute est soutenue par seize colonnes. Huit chapelles sont présentes et l’abside est éclairée grâce à sept hautes verrières. Sur les murs latéraux, six panneaux en mosaïque de 50 mètres carrés, de Charles Lameire et Georges Décote, illustrent à gauche, le rapport de Marie à l’Église, à droite, la relation de Marie à la France.

A côté de la Basilique se trouve une tour de communication appelée la “petite tour Eiffel” à cause de sa ressemblance surprenante avec sa cousine de Paris.

 

Dans la même zone, vous pouvez aussi aller voir les ruines du Théâtre Antique de l’ancienne Lugdunum et visiter le musée Gallo-Romain.

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– La place St Jean et promenade dans le Vieux Lyon

Cathédrale Saint Jean

Au coeur du Vieux Lyon, la cathédrale de Saint Jean a été construite au 12ème siècle, elle est aussi appelée Primatiale Saint Jean car la ville de Lyon fut le primat de Gaule, c’est-à-dire que c’est Lyon qui a accueilli la première église chrétienne de France.

De style gothique, cet édifice a été construit à partir d’une abside romane de 1180 à 1480.

La façade de style gothique est surmontée d’un imposant pignon triangulaire et ornée d’une rosace datant du 14ème siècle.

On peut remarquer à l’intérieur la chronologie de la construction, l’abside et le cœur sont de styles romans, et plus on avance en direction de la façade plus l’influence est gothique.

L’église associe donc les styles roman et gothique.

Le transept est également décoré de deux grandes rosaces. La cathédrale abrite de magnifiques vitraux dont quelques-uns datent du 12ème siècle.

L’horloge astronomique

Datée du XIVe siècle, son mécanisme en fer forgé d’origine serait le plus ancien de France. Elle a été remaniée plusieurs fois : au XVIe pour son mécanisme, au XVIIe pour sa décoration.

Haute de 9,35 mètres et large de 2,20 mètres, elle est composée d’une base de trois cadrans et d’un dôme où logent les automates : ce sont des animaux et une scène représentant l’Annonciation. Le mouvement à été refait dans les années 1930. Son mécanisme primitif, ses cadrans, son astrolabe et ses automates se révèlent au public quatre fois par jour à 12h, 14h, 15h et 16h.

Elle indique : la date, les positions de la lune, du soleil et de la terre, ainsi que le lever des étoiles au-dessus de Lyon. Bien entendu, compte tenu des connaissances de l’époque, c’est le soleil qui tourne autour de la Terre.

Pour la petite histoire, Henri IV a épousé Marie de Médicis dans la cathédrale Saint Jean en 1600.

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Promenade dans le Vieux Lyon

Le Vieux Lyon est le quartier médiéval et Renaissance de Lyon. Il est situé en bordure de Saône, au pied de la colline de Fourvière. C’est l’un des quartiers les plus vastes qui s’étend au bas de la colline de Fourvière, sur trente hectares.

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Les traboules de Lyon

La traboule est un passage couvert réservé aux piétons qui permet de circuler d’une rue à l’autre en passant sous les habitations, à travers des cours et des escaliers. Les premières traboules apparaissent au IVe siècle et étaient construites perpendiculairement à la Saône. On compte plus de 500 traboules à Lyon, dont environ 200 dans le quartier du Vieux-Lyon. Un grand nombre de ces passages obscurs et mystérieux sont fermés ou condamnés. Toutefois, un certain nombre de traboules restent ouvertes au public.

La longue traboule

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La petite traboule

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Direction un Bouchon Lyonnais

Les bouchons Lyonnais

Le bouchon est un restaurant typique où l’on mange des spécialités, dont le tablier de sapeur, les quenelles, la salade lyonnaise et la cervelle de canut. Le tout est généralement arrosé d’un verre de beaujolais ou de côtes-du-rhône. Ce lieu traditionnel reste simple et convivial.

Ci-dessous, quelques préparations qui font partie de la grande tradition lyonnaise dans les bouchons :

Les grattons : les grattons sont des petits morceaux de couenne de porc grillés

Les charcuteries : en premier lieu le saucisson

Le tablier de sapeur : il est préparé avec de fraise de bœuf coupée en dés et marinée dans une préparation à base de vin blanc mâconnais, moutarde, citron, huile et sel/poivre. La fraise est ensuite roulée dans de la mie de pain puis grillée dans de l’huile et du beurre et accompagnée d’une sauce Gribiche.

La quenelle : véritable tradition à Lyon, la quenelle est une préparation à base de farine ou de semoule, de beurre et de lait. Elles peuvent être parfumée avec de la volaille, du veau, ou bien encore, plus traditionnellement, du brochet. Elles sont accompagnées d’une sauce, souvent une béchamel, ou pour la quenelle de brochet, une sauce Nantua à base de beurre d’écrevisse.

Les fromages : le plus connu est la cervelle de canut, préparée avec du fromage blanc. On y ajoute ensuite du sel, du poivre, un filet de vinaigre et d’huile d’olive, une échalote, de la ciboulette, des herbes du jardin et de l’ail et enfin, un peu de crème fraîche et une goutte de vin blanc.

…….etc

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La colline de la Croix Rousse

La colline de la Croix Rousse (dite « colline qui travaille ») domine Lyon.

Autrefois indépendant, car la ville de Lyon s’arrêtait au niveau de la place des Terreaux, le bourg de la Croix-Rousse était situé au-delà des fortifications de Lyon qui datent du XVIe siècle. C’était alors une zone rurale et viticole qui fut rattachée à Lyon en 1852.

Ce quartier est composé du Plateau de la Croix-Rousse et des pentes de la Croix-Rousse qui descendent jusqu’à la place des Terreaux.

C’est le fief des canuts et de la soierie lyonnaise, depuis le 18e siècle.

Après le Vieux Lyon, le quartier des pentes de la Croix-Rousse fut le quartier des tisserands. Les appartements à haut plafond et hautes fenêtres servaient à accueillir de grands métiers à tisser Jacquard. Dans les années 80, une crise du textile a pratiquement évincé tous les ouvriers du quartier. Aujourd’hui, c’est un quartier secoué par la culture alternative qui attire beaucoup d’étudiants et d’artistes.

Ses rues sinueuses, aux nombreux escaliers, sont souvent reliées entre elles par des Traboules (Les traboules, bâties au 18e siècle, avaient une fonction utilitaire, puisqu’elles permettaient de protéger les ballots de soie et d’étoffes que les canuts transportaient d’une rue à l’autre)

Ce quartier abrite notamment une des plus célèbres Traboules, La cour des voraces, place Colbert. Cette Traboule, aussi appelé « Maison de la République », fût le refuge des ouvriers tisserands durant les révoltes du XIXe siècle.

Dans la rue du Sergent Blandan, se trouve le passage de la Déserte, ancienne abbaye royale.

L’appellation du quartier de la Croix-Rousse doit son nom à une croix érigée au milieu du XVIe siècle par Louis XII, sculptée dans une pierre à la teinte jaune / ocre qu’on appelait pierre rousse.

Aujourd’hui, on peut encore voir des métiers à tisser traditionnels en action et les commandes d’étoffes exceptionnelles arrivent du monde entier. 

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La Fresque des Lyonnais

La Fresque des Lyonnais représente à elle seule un symbole de la ville. De Paul Bocuse à l’Abbé Pierre en passant par Bernard Pivot et Edouard Herriot, cette fresque en trompe-l’œil de 800 m2 rend hommage aux hommes et femmes qui ont fait Lyon et contribué à sa renommée.

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Jour 3

Quartier de la presqu’île de la place des Terreaux à la place Bellecour

La place des Terreaux

Aménagée au 17ème siècle, la place des Terreaux constitue depuis cette époque le cœur politique de la cité lyonnaise. Le site s’étend sur 7 000 m² et abrite l’Hôtel de Ville, le Palais Saint-Pierre ainsi qu’une jolie fontaine réalisée par Bartholdi.

Cette fontaine, construite au 19ème siècle, a été déplacée à plusieurs reprises. Classée aux monuments historiques, elle symbolise la Garonne et ses quatre affluents. Elle était à l’origine destinée à la ville de Bordeaux.

Le Palais Saint-Pierre, est un ancien édifice religieux catholique recevant des moniales bénédictines dès le Xe siècle et reconstruit au XVIIe siècle. Fermée à la Révolution, l’ancienne abbaye abrite aujourd’hui le musée des Beaux-Arts de Lyon.

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La place de la Comédie

La place de la Comédie est l’espace entre la mairie et l’opéra. L’opéra situé en face de l’hôtel de ville date de 1829, on lui a ajouté le grand dôme métallique pendant sa reconstruction conduite en 1990 par Jean Nouvel.

Quartier des affaires dans la presqu’île et Traboule

Nous traversons diverses rues du quartier des affaires avec de prestigieux bâtiments : Crédit Lyonnais, Palais de la Bourse, Banque de Chine …etc

Puis traversée d’une Traboule.

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L’Eglise St Nizier

Située au cœur du quartier des Cordeliers, l’église Saint-Nizier de Lyon date du 14ème siècle. De style gothique, elle recèle quelques trésors et est classée aux monuments historiques depuis 1840.

Sa façade extérieure est surmontée d’un fronton néogothique et flanquée de deux clochers asymétriques. Une horloge de près de 9 mètres reliée à un carillon est installée sur la tour nord. On accède à l’intérieur par un imposant portail Renaissance.

La nef comprend six travées et neuf chapelles latérales. L’intérieur est orné de quelques belles œuvres d’art, parmi lesquelles une statue baroque de la Vierge située dans la chapelle Notre-Dame de Grâce. La chapelle de la Trinité, de son côté, abrite un retable et des vitraux réalisés par Lucien Bégule à la fin du 19ème siècle.

La crypte du 19ème siècle est située en-dessous du maître-autel. Elle abrite de belles mosaïques et une chapelle dédiée à Pauline-Marie Jaricot qui fut béatifiée par le pape Pie XI.

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Dernière Traboule traversée

Trajet vers le restaurant

En cours de route on trouve

La place des Jacobins

A deux pas de Bellecour et des Célestins, en plein cœur de la Presqu’île, s’étale la Place des Jacobins, l’une des plus belles de Lyon.

La fontaine sculptée en marbre blanc qui se dresse au centre de cette place a été réalisée en 1885 par Gaspard André. Elle représente quatre artistes lyonnais fameux : l’architecte Philibert Delorme, le sculpteur Guillaume Coustou, l’artiste graveur et dessinateur Gérard Audran et le peintre Hippolyte Flandrin.

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La place Bellecour

Dans la liste des lieux à voir à Lyon, direction la place Bellecour.

La place Bellecour est un lieu privilégié de rendez-vous pour les lyonnais.

Que ce soit pour visiter Lyon, faire du shopping, aller au ciné ou tout simplement faire la tournée des bars, tout part de Bellecour. Elle constitue le point kilométrique 0 de Lyon, ce qui signifie que les distances sont calculées à partir de là.

Reconnue comme la plus grande place piétonne d’Europe, cette vaste esplanade de terre rouge offre une vue imprenable sur Fourvière et donne accès à de nombreuses rues idéales pour le shopping.

Au centre de la place, vous pourrez aussi voir la statue de Louis XIV sur son cheval (construite en 1713 en l’honneur du Roi Soleil)

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Deuxième déjeuner dans un bouchon lyonnais

Visiter Lyon sans prendre au moins un repas dans un bouchon lyonnais, ce n’est pas concevable ! Véritable institution, il existe même un label « Bouchons Lyonnais » pour certifier l’authenticité du bistrot typique.

Manger dans un bouchon est le meilleur moyen de découvrir et d’expérimenter la gastronomie et les spécialités régionales. Au menu, opter pour des rognons, un saucisson brioché, des quenelles ou bien encore de la cervelle de canut et le tablier de sapeur !

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Hôtel Dieu

L’Hôtel-Dieu de Lyon est l’un des plus grands bâtiments de la presqu’île de Lyon. Il est construit en bordure ouest du Rhône, dans le quartier de Bellecour. Premier hôpital lyonnais (les premiers bâtiments sont attestés en 1184). En 2007, il a été décidé de transférer ses services dans d’autres établissements afin de pouvoir vendre son bâtiment et son site exceptionnels. De 2010 à 2015, le bâtiment resta désaffecté, et d’importants travaux prévus sur environ trois ans pour une utilisation hôtelière, muséale et également pour accueillir la cité de la gastronomie en 2019. L’ensemble de l’édifice a été classé monument historique par arrêté le 21 novembre 2011

Il est reconverti partiellement en hôtel de luxe de 140 chambres dont l’entrée se fait par le dôme central. Les rez-de-chaussée  sont destinés aux activités commerciales,  et le reste du site est occupé par des activités tertiaires  Enfin, les cours intérieures sont ouvertes au public.

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Toujours le Vieux Lyon

Le quartier Confluence

Totalement rénové, le quartier des Confluences est le quartier contemporain de Lyon, situé au confluent du Rhône et de la Saône.

Ancien quartier industriel avec de nombreuses usines, il a été réhabilité pour se transformer en un éco-quartier avec de multiples commerces, bureaux et habitations.

A Confluence, la visite à ne pas manquer est celle du musée. Pourtant récent, il est très vite devenu un incontournable de Lyon.

Le musée des Confluences avec son architecture futuriste et situé sur les quais du Rhône, propose des expositions permanentes sur les origines de la vie avec notamment une partie archéologique, une autre sur les représentations de la mort et une dernière sur les sociétés et civilisations fabriquées par l’Homme.

La mise en scène est originale et très intéressante grâce à des explications claires.

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Jour 4

Village de Oingt classé plus beau village de France et visite d’un domaine viticole

Oingt, Plus Beau Village de France

Perché au-dessus des vignes du Beaujolais, à une trentaine de kilomètres de Lyon dans le département du Rhône, Oingt est un village médiéval classé « Plus Beau Village de France », le seul du département du Rhône.

Dominant la vallée d’Azergues, il est l’un des joyaux du « Pays des pierres dorées ».

Rien n’est plus plaisant que de flâner dans  ses petites ruelles moyenâgeuses, ses monuments historiques classés qui en font tout son charme. Les maisons aux très vieilles pierres dorées du Beaujolais sont, depuis quelques décennies, superbement restaurées. De son passé médiéval, la cité a conservé l’ancienne chapelle du château, la porte fortifiée de Nizy, qui constitue aujourd’hui encore son entrée principale,  et une tour donjon haute de 18 m, d’où l’on jouit d’un panorama exceptionnel sur la vallée d’Azergues et sur les monts du Beaujolais et du Lyonnais.

Visite du domaine viticole de « Fond-Vieille »

Depuis 2001, Dominique Guillard produit beaujolais rouge, rosé et blanc sur 15 ha, grâce à une viticulture raisonnée en privilégiant la qualité tout en respectant l’environnement. Il nous a  accueilli avec gentillesse,  pour nous présenter son exploitation, nous faire visiter une de ses vignes et nous faire goûter ses vins.

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Fin du Voyage à Lyon

Voyage très bien organisé, très agréable, et très instructif.

Un grand merci à Gigi et à son équipe pour leur gentillesse et leur dévouement, au chauffeur pour sa gentillesse et sa disponibilité et au voyagiste Arcoutel.